"très peu" ... mais ça peut arriver ... ça m'est arrivé ... a la deuxième sortie, un mamba 80% 430 neuf de chez neuf sur 7m2 RSS , pas d'efforts ni de conditions particulières, pas d'exposition au soleil étarqués ... plein travers a 300 m du bord , vent léger a moyen genre 18 kts établis, pas de rafales particulières , pas de chocs, rien de rien ... board , surfeur et voile ... ensemble bien calé et la  CRAAAC ... ça surprend d'abord , surtout la première fois !!! ... un putain de bruit et rupture nette du mat, rupture retenue par le fourreau de la voile , environ 10 cm au dessus du wishbone ... et la tu te retrouve "avec un toit" la partie supérieure de la voile au-dessus de la latte au-dessus du wishbone ... qui "pendouille" pas tant que ça ... vu que la tension résiduelle d'etarquage conserve un fourreau encore bien compact ... Par chance le fourreau marqué très légèrement par un étirement des coutures visibles ... mais heureusement pas percé ... 
Les points positifs, ben ... de un tu "arrives a rentrer au bord avec le gréement en l'état, c'est plus long, mais ça marche ... encore un peu  ... même si faut le dire vite ..." , de deux, le fourreau pas percé égale voile "pas abîmée" ... de trois le mat est clairement sous garantie car on est clairement dans la tolérance de dispersion de fabrication de x % ... si ça arrive pas tous les jours ...
Les points négatifs, ... de un "le risque non maîtrisable qui te surprend" ... , de deux "tu peux , suivant comment , plus rentrer par tes propres moyens" ... ça peut vite être gênant, de trois "rien ne garantis que tu ne déchire pas le fourreau" ET DANS CE CAS LA, et bien tu peux t'asseoir sur l'endommagement de la voile et ça ça peut faire bien mal au c..!!! , de quatre ..."tu te fais c.... comme un rat mort" pour dégréer, desetarquer la voile et sortir ces deux ou trois p...... de morceaux de mâts" ... dans mon cas, "degreage directement dans l'eau sans sortir la voile de l'eau pour pas créer d'efforts supplémentaires sur la voile qui a encaissé le choc" ... et tu te frappes "plusieurs centaines de mètres a pied en transportant tout ça en plusieurs voyages bien sur" ... en essayant d'éviter les échardes et le mot est faible parce que les fibres de carbones rompues ... c'est un poil dangereux ... et faut aller super lentement en des étarquant la voile pour ne pas l'abîmer plus et surtout pour lentement mais sans trainer enlever toute la tension d'etarquage du fourreau ... que du bonheur ...
Bref, rien de grave mais a éviter et a savoir que quelque soit le mât, quelque soit son entretien, et bien, industriellement, cela peut arriver, le risque zéro n'existe pas et ce genre d'événements est la pour nous le rappeler. En général, si c'est un défaut de fabrication de série qui passe a travers les mailles du contrôle et du système qualité, c'est bien avant les 12 mois de garanties et dans les tous premiers usages que cela arrive et la faiblesse de la fragilité du défaut initial, en général , apparaît rapidement. 
Pour ce qui est des reptiles, le niveau de qualité globale, industrielle en fabrication et a l'usage du produit, est plutôt bon a très bon. 
Le reste, c'est un autre débat : "la dispersion industrielle des qualités du produit dans toute l'industrie de la planche a voile et de ses dérivés ..." ... en termes de repétabilité et de fiabilité générale des procédés de fabrication , je pense sincèrement que toutes les marques confondues ont encore une belle marge de progression dans ce domaine sans que cela n'ai a avoir un impact sur les prix ... car " l'impact des prix depuis chaque année, il a déjà eu lieu" ... sans que la qualité intrinsèque du produit ne soit vraiment plus ou mieux garantie ... et là, le débat est ouvert ...
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..." ... tout vas bien !!!