Hier à Sanguinet, en Foil, météo sympathique, une douzaine de nœuds, du soleil. Le jibe se passe mal et je lâche tout en milieu de manœuvre. Le matériel s'éloigne d'une quinzaine de mètres. D'habitude je nage un peu et tout va bien mais la impossible de le rattraper. Ça a duré jusqu'à ce que le matériel s'échoue tout près du rivage. Il a fallu que je nage un bon moment. Heureusement que je n'étais pas trop loin du bord parce que ça aurait pu moins bien se terminer. Moralité: ne pas lâcher le wishbone n'est pas un vain conseil si l'on navigue loin du bord.

j'ai vu une planche faire au moins 10m (oui oui, des vrais mètres !) toute seule en l'air avec le gars qui l'a vue s'éloigner.
La voile a pris le vent et tout s'est mis en vrac, ca n'a pas trop dérivé du coup.
Tu as travaillé tes compétences en natation au moins

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Wing Aeromod Board Takuma CK80. Wind Bic Techno Foil 130, RRD Firemove v2 102.
Motivation et amour du sport 9/10; Progression 2/10

Pas possible un leash

Petite voile ?
La planche qui se barre loin je l'ai vu en formula, voile très couchée sur toi le flotteur fait du chemin au planing sans toi avant qu'elle bascule et tombe de l'autre côté.
Par contre ensuite une 11.0 ça fait suffisamment ancre flottante pour que tu rattrapes l'ensemble.
En foil jamais eu le problème, encore moins dans 12 noeuds.

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Matos lac et vent faible, 100% foil même si je pourrais compléter avec une freeride 115 litres pour le fort et une wing pour le très très light.
Flotteurs : IQFoil / Slant 133 / ex-proto Horue Flikka
Foils : SB Team Set + IQ
Voiles : freeraces 2 - 3 cam de 5.9 à 9.0
1.86 m - 100 kg

J'étais en 6m, ma malchance je crois c'est la position que le gréement a pris sur le flotteur. Il était perpendiculaire au flotteur avec le bas du fourreau qui prenait le vent. Tout ça était bien stable et s'éloignait peinardement sans que j'y puisse quoique ce soit. Un leash oui mais infaisable on est pas sur un surf. Ni

Ils le font bien en wingfoil et pas un mais deux, un pour la voile, l'autre pour le flotteur.

La moralité de l’histoire c’est surtout :

Quand tu fais un sport nautique et dans des conditions ou tu n’a pas pieds et bien c’est d’avoir un minimum de compétence/disposition à la nage.

Même si tu as des bonnes prédispositions à la nage, s’équiper d’une veste d’impact/flottaison digne de ce nom.

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82 kg S'il n'y a pas de pied de mat, j'en veux pas !
« You don’t ask the sea any questions, you just dress for the occasion ». Douwe Gaastra.

Y'à 3 jours, je pars au surf. Au fur et à mesure que la vague grossie, je suis totalement hors contrôle en 4,2.
Bilan éjection par l'avant, je plonge dans l'eau assez loin du matos...... Et là , le foil vient me taper dedans ! Ouille !

En plus quand je ressors, j'ai la voile au dessus..... Heureusement, 4,2, c'est pas grand

Je confirme...... Ça navigue sans pilote !

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Flikka custom 190 x 74
Severne blade 4,2 3,7 3,3.
X-boom ultralight wave
Foil F4

Loin du bord ou pas , en foil il vaut mieux garder le wish en main pour contraindre le foil a rester sous l'eau et donc moins dangereux ...

Sinon en vagues, le lâcher de matos peut couter cher (physiquement ou en matos) dans de nombreuses sessions et nager avec un harnais c'est BOF ! donc a part si les vagues sont trop creuses et donc dangereuses j'essaie de agripper autant que je peut.
c'est vrai que sur le flat cela peut surprendre

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te chies pas

Je ne suis pas sûr qu'une veste d'impact et / ou un gilet de flottaison facilitent la nage.
Le fait de pouvoir flotter à la surface avec un gilet de flottabilité est plus sécurisant et permet d'économiser ses forces, mais quand il faut nager rapidement, la donne n'est plus la même.

Ce qui est arrivé à Bandana est loin d'être exceptionnel en foil.
Schéma typique: flotteur bien volumineux et petite voile, on tombe à l'eau, le gréement tombe sur le flotteur et reste posé dessus, ce jour-là il y a des trains de houle qui poussent tout le matos grâce au foil (le cul du flotteur reste soulevé hors de l'eau); ça part à toute allure, impossible de rattraper le matos à la nage. Un harnais (même très enveloppant) ne ralentit pas trop, par contre comme le dit Misterguil, nager avec un gilet d'impact (même le type bien ajusté), c'est une horreur. Mais le jour où cela m'est arrivé, le matos est parti tellement vite que même sans gilet, je ne l'aurais pas rattrapé. J'ai eu beaucoup de chance que le gréement finisse par se retourner et fasse ensuite ancre flottante, mais j'ai eu très chaud.
Mettre un leash en foil ne serait effectivement pas une mauvaise idée; il faudra que je jette un oeil sur ceux que mettent les wingfoilers, voir à quoi ça ressemble.

A choisir entre risque et non risque, je signe pour la seconde option. Quand à la difficulté de nager avec gilet’ personnellement je trouve pas.

Ça m’est arrivé une ou deux fois de devoir nager pour récupérer matos qui avait tendance à se faire la malle et je n’ai trouvé aucune difficulté. C’est pas plus difficile de nager avec une grosse intégrale ou le harnais.

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Oui...mais c'est justement le côté un peu chiant (mais indispensable) du Wingfoil justement !

Quand tu débutes, ça s'emberlifiquote partout...c'est très chiant.

En windsurf, le leash, vous essayerez...moi je l'ai fait et c'est loin d'être concluant.

Il y a toujours un moment ou même sur un petit flotteur, vous devrez faire un virement de bord plutôt qu'un jibe et la...le leash s'emmêle dans le pdm.

De plus, pratiquer un sport de glisse, implique tout de même d'accepter de gérer un minimum de risque, risques calculés en fonction de son niveau.

Il y a quelques situations ou la planche peut vous échapper et parfois tenir le wishbone coûte que coûte est réellement pire que le mal (wipe out et casse du nose par exemple).

- 1er Situation : petit temps, grosse planche la voile se pose sur le nez et le tout part au large.

Moi, cela m'est arrivé 2 fois en tout et pour tout.

La première fois, le vent était de terre et j'ai jugé plus prudent de laisser la planche partir au large et de la perdre et à posteriori j'ai eu raison car je me serais mis en danger inutilement et jamais je ne l'aurai rattrapée.

La seconde, sur le lac de la forêt d'Orient (spot safe par excellence !), bon...un bateau m'a ramassé et jamais ma vie n'a été en danger !

- 2ém situation : vagues et courant.

Que cela soit un courant de baine ou un fort courant de fond, vous avez 2 solutions :

- Tentez de rejoindre la planche par un crawl énergique, vous accrocher à elle et profiter des vagues pour vous faire ramener peu à peu sur la plage.

- Faire la même chose avec votre corps.

Dans un cas comme dans l'autre, il faut accepter un minimum de risques, risques comprenant notamment le fait de perdre son matos ou de la casser. C'est ainsi.

3ém cas de figure : Le saut en vague ou la chute en foil.

En vague, même les tout meilleurs tombent, même les tout meilleurs nagent, même les tout meilleurs cassent ou perdent du matériel.

Même un type comme Éric Thiemé assume totalement s'être lancé dans un high jump, avoir tout lâché une fois en l'air et avoir vu sa planche partir à 30 mètres sous le vent.

Il n'en est pas ressorti traumatisé pour autant et l'assume même crânement comme étant un évènement piquant de son existence.

Sur le gilet de flottaison :

C'est toujours mieux qu'un ...gilet de poids !

Allez tomber la ou il y a du fond, et vous allez comprendre l'utilité de naviguer off shore près du bord en speed et de travailler un minimum votre nage et votre respiration en situation de pré noyade (c'est utile aussi en vague).

Alors certes, le gilet de flottaison est gênant pour la nage...mais il est toujours préférable selon moi d'en avoir dans des conditions extrêmes.

Pourquoi ?

Car vous n'êtes messieurs et quelque soit votre niveau de nageur pas plus fort que la mer. Il y a toujours un moment ou il vous arrivera de vous faire embarquer par le courant, ou vous devrez composer avec lui et le contourner plutôt que de l'affronter de face.

Faites un peu de plongée sous marine en pmt et vous apprendrez à jouer avec le courant, comme le font les chasseurs sous marins.

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Quiver samouraï mk1 : Wingfoil F-One 6,6 + aile 220 et 1800, RRD Freeride air, recherche Red Paddle windsurf.

Quiver camping car : Exocet RS D2, JP crossback, Exocet windsup 11,8, F2 Comet 145.

Remorque : Exocet Xlongboard 11,5, Starboard Whooper extra, Starboard Carve 161, Exocet Windsup 10,2, Kona 10,5 TT, Starboard Hypersonic 133 wood, Kona 9,5 TT, Exocet Xwave 129, Kona mini Tanker TT, RRD Twin tip 65, AHD 70 NT, Naish Floater.

AHD 98NT, Ray 145 wood, cruiser wood convertible, Naish Javeline 17"

Accepter un certain niveau de risque, oui, mais pas n'importe quoi. Je navigue toujours avec un gilet, mais le risque principal aujourd'hui à Nouméa si tu nages pour rattraper ton matos qui part sous le vent et que ça dure, c'est l'attaque d'un requin. Les ventes des shops se sont effondrées parce que 5 morts en un an, dont 3 en quelques semaines, ça a refroidit beaucoup de pratiquants. Des études scientifiques ont été menées, et il y a plusieurs centaines de requins (beaucoup de tigres et de bouledogues) qui circulent juste là où on navigue.
Sur un gros flotteur de foil bien volumineux, je me sens en sécurité, mais pas si je dois barboter 25 minutes dans l'eau avec un genou coupé qui saigne, à un endroit où une semaine plus tôt, un copain a tapé du foil dans un requin, comme ça m'est arrivé en slalom il y a 3 mois. Les 25 minutes de natation (vent qui s'est effondré alors que j'étais en petit matos) m'ont paru très longues.
Donc quand je serai de retour en Calédonie, je regarderai de près l'option du leash en foil.
Ne pas pouvoir faire un virement de bord me fera progresser au jibe.