Quand on se retrouve dans l'eau entre les fanatiques des ailerons et ceux (30 ans plus jeunes) qui marquent 32 nœuds au foil, les presque 28 nœuds ne sont certainement pas une nouveauté. Mais je dois avouer que le chemin du retour à la maison, un jour de circulation de vacances, m'a semblé presque agréable !

...Je voulais te le dire !

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Demande:

Que feriez-vous et comment feriez-vous pour tirer le meilleur parti de l'utilisation du trapèze (avec des cordes qui doivent nécessairement être longues) lorsque vous vous trouvez à naviguer dans un endroit (abrité par différentes sections d'une jetée) où, le long des voies individuelles, il y a des variations notables d'intensité et de direction du vent ?

En gros, dans mon spot de référence, lorsque les journées sont de type 18-28 nœuds, cela se produit (du rivage vers le large) :

- waterstart et déplacement court avec vent side-side off
- pompage et décollage très rapide dans la rafale (+/- 5 secs)
- zone d'ombre au vent avec une baisse discrète de pression sur la voile (il faut rester debout 5/10 secondes et réussir à ne pas perdre la propulsion)
- nouvelle rafale latérale et recherche à nouveau du trim (accélération réelle)
- légère diminution d'intensité (ce qui demande beaucoup d'efforts au dos pour rester accroché aux longues lignes et maintenir le tout en l'air tout en utilisant une "petite" voile)
- fenêtres ouvertes et 6/8 nœuds de plus que le vent de base (où j'aurais aimé arriver déjà en trim "toilette")

En gros, la grande difficulté est de gérer la transition tout en restant PRODUCTIVEMENT attaché au trapèze.
Je pense que savoir comment générer de la vitesse PLUS RAPIDEMENT pourrait m'aider. Mais, comme je l’ai écrit, c’est un exercice assez compliqué en raison des variations mentionnées.

En attendant je commande une paire de Lisa Hardness dans l'espoir de retrouver (quand besoin) les lignes inclinées et tendues correctement vers les hook du trapèze, évitant ainsi des tentatives continues et inutiles d'accrocher des lignes très éloignées car poussées à l'intérieur de la bôme...

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Ha le vent variable, c'est le pire à gérer.

Tu as donné une partie de la réponse, avec des bouts windfoil Lisa, Hardnesslines ou autre, c'est très facile de régler la longueur en navigation (c'est l'élément le plus facile de tout le système, selon moi).

- Donc tu pars avec les bouts medium
- Tu raccourcis d'un coup sec dans la molle
- Tu surveilles la rafale avec la main sur le bout, et tu relaches dès l'entrée de rafale.

Tu gères comme ça les variations de vent, si tu vois les rafales arriver c'est encore mieux pour anticiper.
Avec les bouts modernes type Lisa, ça me semble tout à possible d'arriver à gérer les longueurs sans même se décrocher.

si tu te décroches tu ne peux tout simplement pas gérer la longueur donc comme ça c'est réglé

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https://youtu.be/xd-VSRY1-So?si=h7r7aIefAwmV5I9B

Il y a bien plus simple: naviguer sans strap arrière, mais avec des chaussons; du coup, l'appui n'est pas glissant, il n'y a pas de crispation, etc.

Pour moi, gérer la longueur des lignes en volant avec plus de 20 nœuds de vent n'est pas une option. Surtout, ne le faites pas plusieurs fois sur le même bord.
Pour le moment, j'espère que les nouvelles lignes conserveront la bonne inclinaison même perturbées par le vent et que je ne les accrocherai que lorsque je le jugerai approprié (au départ sans exagérer avec la longueur).

J'ai remarqué à plusieurs reprises que, bien que «désagréable», le port de la sangle arrière équilibre le vol de manière exagérée.L'astuce consiste à faire un véritable changement mental vers le mode foil

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Absolument