gwen-one a écrit:
sans vouloir vous déranger....
une voile de vagues est beaucoup moins stable qu’une voile de race,ça guidonne et sa plage d’utilisation est moindre,on est d’accord?
si on rajoute à ça l’instabilite permanente du foil,on arrive pas a quelquechose qui se dandine?
c’est une question hein,expliquez moi!!
On parle windsurf ici donc tu déranges pas, au contraire.
J'ai envie de te répondre que non, une voile de vague n'est pas plus instable qu'une voile à camber.
Qu'es ce que tu penses en parlant de voile de vague?
vague c'est 5.8 voir 6 maxi et en dessous;
au dessus c'est freeride.
Donc si tu compares des voiles de 7 ou 7.5 voir plus avec ou sans cambers: oui, on est d'accord.
Bien que la légèreté et la réponse pomping d'une nocam peut etre intéressante en utilisation foil.
Si tu parles d'une voile de moins de 6m², c'est différent.
Une fois calée, une voile de vague ne bouge pas et on sait tous qu'avec des voiles pures vagues, on peut aller très très vite sans problème particulier.
En foil, on va les utiliser en plage basse donc on est encore moins sujet aux déformations et par contre, le coté on-off est intéressant car on a parfois trop de jus en foil et avec une voile à cambers, tu continues à avancer même voile ouverte.
Pour ma part, j'ai trouvé la hotsail superfly en 7.0m assez sympa avec un effet guimauve efficace et une légèreté agréable. Après c'est sur que pour les perfs, les voiles avec des cams resteront devant mais la dif n'est pas si énorme, faut pas croire, hormis en 8,9,10++
Pour l'instabilité des foils, bah c'est parceque tu ne sais pas de quoi tu parles. Parmis ceux de la dernière génération, certains sont incroyablement stables et même un récalcitrant de la pire espèce (un Gwen quoi!

) serait obligé de le reconnaitre après essai.
Je pense que le fossé avec la pratique aileron est comblé et le coté yoyo qui vous fait peur d'avoir l'air ridicule en re-débutant a disparu. On a qu'une vie, faut y aller!
Et pour ma part, je ne resterais jamais bloqué dans une pratique singulière; le windsurf, c'est comme le cochon...