ça m'est arrivé récemment à la franqui, la voile ne tenais que par la secu du tendon.

J'ai pris le bout qui tient ma clef (G mis ma clef direct dans ma combi) j'ai fait des noeud en passant le bout sous la plaquette et au milieu des bout d'étarquage. Et je suis rentré au planning.

J'ai juste abîmé la déco autour du pied de mat.

Dans ce cas la tu peut même le faire directement avec la longueur de bout qu'il te reste normalement après étarquage de la voile à la rallonge de mat, (environ un mètre normalement que tu range dans la poche intérieur de la protection de mat ou que tu enroule autour du mat en bas).

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Patrick

Idem une fois aussi, rentré avec le pdm qui tenait par le bout de sécu...
Par contre, quelques trous dans le pont....
C'était un diabolo, et y'avait la vis qui dépassait..

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Oui on sait, le windsurf est un super sport pratiqué par des connards (c'est pas de moi, c'est de Kipu) donc continuons à nous contenter d'une presse de merde, de boards en carton et de forums en mode pilotage automatique qui ne veulent froisser personne en vivant dans le souvenir d'une époque où le planchiste avait l'air d'un mec "cool". - Paquito, 20/12/2013

Faudrait pas que des gens qui souhaitent se mettre à la planche vous lisent... ils vont se barrer vite fait...
Qui ouvre "racontez vos plus grandes joies (du windsurf)" ?
(roman à l'eau de rose autorisé si vous avez rencontré l'élu(e) de votre coeur grâce à la planche)

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Feedback Raph33

Le pire moment de ma vie de windsurfer, je l'ai connu lorsque je me suis cassé un ongle en tentant de desserrer le noeud de cabestan du wish pour rehausser ce dernier. J'étais au moins à 30 mètres au large de la cote et j'apercevais à peine les parasols sur la plage tant je suis myope. Le vent soufflait en rafales de plus de 12 noeuds et je mis plusieurs dizaines de secondes qui me parurent interminables pour rejoindre le bord. Là, aucune cellule psychologique pour me soutenir dans ma détresse. Pour ne pas faire pleurer dans les chaumières windsurfeuses, je ne vous parle pas des souffrances extrêmes que j'ai dû endurer lorsque mon ongle fracturé s'est pris dans le jersey de la manche de la combi lors du déshabillage. Aucune urgence manucure n'existant dans le coin, j'ai dû serrer les dents sur les 50 km du trajet de retour durant lequel mon ongle n'arrêtait pas de s'accrocher au couvre volant en fourrure synthétique (on était au milieu des années 70). Depuis, rien d'aussi traumatisant ne m'est arrivé hormis peut-être un coup de soleil sur la tête.

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"J'ai sacrifié 40 années de ma vie" à la planche et ça ne m'a apporté que des rhumatismes.

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Oui on sait, le windsurf est un super sport pratiqué par des connards (c'est pas de moi, c'est de Kipu) donc continuons à nous contenter d'une presse de merde, de boards en carton et de forums en mode pilotage automatique qui ne veulent froisser personne en vivant dans le souvenir d'une époque où le planchiste avait l'air d'un mec "cool". - Paquito, 20/12/2013

allez hop, 3 qui me viennent a l'esprit
-guincho avec un peu de taille, la super molle qui s'installe d'un coup... du rentrer a la nage, je ne sais pas comment j'ai reussi a ne pas me faire arracher le matos ! et quelques brassages qui ont paru longs
-sortie de l'eau en portant la voile sur la tete, je sens un truc sur les jambes, ah tiens, les lignes du kiteur a ma gauche avec son aile a ma droite. bien sur elle decolle, fauché direct, 15cm d'eau, voile qui fait ventouse et je ne peux pas glisser en dessous, au bout d'un (30+ s selon des mecs sur le bord) long moment, j'ai reussi a choper la chute et faire glisser la voile
-cet ete, pete le tendon alors que je faisais le dernier (long bien sur) bord, et juste apres le jibe, au largue. 10h00 pm 8km du point de depart... je degree, range tout, et rame. avec la houle et le vent, clairement pas du tout avancé. pas trop envie de passer la nuit sur la planche pour atterrir je ne sais ou dans le 44, je regree, passe le bout d'amur sous la plaquette et troue le pont (et ca m'a bien troué le ... aussi de faire ca a la planche !). ca marche pas mal une fois calé dans le sandwich... fin de l'histoire a 11h pm, on commencait a ne plus beaucoup voir...

c'est bon je suis calmé maintenant (toujours eu une chance monstre sur mes autred casses avant)

oui mais j'avais un proto tabou de slalom acheté à fabien Pendel et.. j'y tenai encore plus qu'au gréément
même pas en rêve que je risque de faire des trous dessus
(en plus F. m'a dit un jour qu'il avait battu Bjorn sur une manche avec )

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F399

"Mélangeons, métissons, unies soient nos cultures! Pratiquons la raison, bénie soit l'ouverture!"

pour les fans de hockey: pamiershockey.fr/

S2 Maui FMX Racing loc Surf

Mode grosse provoc' ON :
Si, si, continuez c'est bon comme sujet ! La prochaine fois qu'on causera des dangers du kite, j'aurai moins de boulot sur l'argumentaire comparatif !
Mode grosse provoc' OFF

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Rico le Rouquin
1m78, 84kg sec... mais rarement sec.
Planche qui ne sert plus qu'au fiston : Tiga HyperX 110 ; Voile : Challenger Aero+ 7.1

oui mais à la différence du kite, nous nos boards elles flottent
et c'est quand même un +
et nos voiles ont les ouvres et c'est bon.. elles ne nous propulsent pas à 30m. de haut
HS (off)

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Ou ils sauront ce qu'il faut éviter
Et puis c'est plus fun de rire des galères des autres
Mais après tout tu peux tenter

Bon allez tiens j'en ai une autre.
C'est pas une galère de matos mais c'était bien emmerdant, si je puis dire...
Tarifa Nieme trip plage de bolonia.
Un bon levante souffle sur tout le detroit de gibraltar et nous naviguons mon frère et moi depuis déja un petit moment. Des allers et retours à 500 m de la plage, qui finissent par être un peu monotones.
Et puis comme ça pour casser la routine on décide de se faire la traversée pour voir...
Au bout de 30 mn on se retrouve dans des eaux tumultueuses très difficiles à gérer, avec des vagues deferlantes probablement dues à la convergence du flux de l'Atlantique avec celui de la Méditerrannée.
C'est alors que bizarrement à ce moment là je sens comme une nette envie de ....faire popo.
Le genre d'envie qui au milieu de nowhere avec des deferlantes et une combarre devient vite difficile à satisfaire. Ça s'appelle le syndrome mongolfier : en cas de fort stress il faut larguer du lest pour prendre un peu de hauteur sur les obstacles à franchir!!!
Ne parvenant plus à gérer mon matos, je finis par tomber... comme une bouse. Et je décide donc de m'atteler à la lourde tâche...
Le suite tient plus du roman rocambolesque à la Bigard que de la prose délicate de Proust. Moins à l'aise que Jean Marie je vous épargne donc les détails de cette très sombre histoire.

Sachez juste, si vous êtes arrivés jusque là, que vous prefereriez que Archimède vous oublie un peu avec sa poussée histoire de laisser le fruit de la votre couler bien au fond!!!

Enfin bon donc, chose faite, je dois suivre les indications de mon frangin pour nager et retouver mon matos qui avait disparu, caché par la houle.
Le waterstart dans cette mer très formée deviens un vrai cauchemar, je finis pas penser vraiment que je ne pourrai pas repartir et me dis que j'aurais du prendre un passeport, ça m'aurait au moins fait du papier...
Puis, sur un malentendu je me relève et nous repartons finalement vers Tarifa.

En touchant terre je me suis juré de ne jamais plus tenter d'aller emmerder les marocains!

Excellent: 10/10

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Voiles: Raptor9.5, V8 7.7, NR 6.2, Core 5.3, Zeta 4.2

On ne peut pas ne rien dire. Wachement Chaud.

+1 pour la prose

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