La dernière fois que je me suis obstiné à maintenir ma position "bien" dans une grosse rafale tout en abattant dans un infâme clapot ,"bien" je doit dire que je m'en souvient très "bien"...
Depuis,j'ai re-testé l'affaire, histoire de voir...
le résultat est sans appel,c'est chaque fois l'embardée
Je passe le clapot,mais sans la planche
Du coup,suivant ma petite expérience et analyse sur le terrain,j'en ai déduit que suivant la surface de l'eau et les conditions de vent,qu'il valait mieux agir en diminuant les contraintes que de les subir.
Donc,j'ouvre ma voile quand elle le demande pour la laisser respirer et je me replace quand vient le moment.
Sans quoi,l'appui sur l'avant de la planche augmente fortement,ce qui n'avantage pas la glisse et augmente le risque d'enfourné.
On a l'impression d'aller vite,mais le gps lui,ne décolle pas.
Dans un regain de vivacité tout en reprenant les rênes en mains et en fermant les yeux,j'ai déjà tenté de garder la position caca en mode de survie et voile fermée,mais c'est extrêmement physique et casse gueule.
Bon après,tout est relatif,ce qui peux se faire dans 25-30 noeuds,n'est peut-être pas applicable dans 40-50 noeuds,je n'en sais rien,je n'ai pas le matos pour et suis dans la zone d'âge ou la sagesse commence à prendre le dessus sur le risque et la fougue.(le début de vieillesse en somme

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