ca dépend des types de voile , pour une voile qui ouvre énormément style point 7 ça guide l'écoulement donc une meilleure trainée aucune puissance supplémentaire
mais plus d'efficacité

Ok,merci.
Pour la latte 4, qui une fois retendue, tombe sur le pont, tu as une explication physique du machin ?
Je n'arrive pas à me l'expliquer.

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Je n'ai malheureusement pas la pratique suffisante que pour avoir un niveau correct, ce qui fait que je compense ce manque par la recheche de ce qui peut me faire évoluer plus vite.

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C'est sensible comme réglage sur la point 7 ?

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Sur un kilometre ça donne 5 metre devant sinon en blind test on ne sent pas grand chose ou alors sur l'extra flat la voile bouge un chouilla moins ..

Pour en revenir à la longueur des bouts , en fait c'est ce qui régule l'équilibre des appuis sur le flotteur, qui se répercute automatiquent sur le confort, la glisse, le lift, etc.
Et donc plus on les raccourci , plus l'appui se fera sur l'avant et vice et versa.
A partir du moment ou la voile est bien réglée, on gère en fonction de cela et ce suivant ce que l'on veut obtenir.
Comme par exemple d'avoir plus d'appui sur l'arrière afin de remonter plus facilement au vent ou encore chercher un appui plus équilibré à 50-50 pour mieux passer le clapot ou encore d'avoir plus d'appui sur l'avant pour pousser le flotteur plus loin dans les tours.
Je n'arrivais pas à bien définir ce que cela pouvait apporter, mais maintenant c'est fait .

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Pour mieux caper, il faudrait être plus sur l'arrière, et donc rallonger les bouts?

Ici je parle d'appui et de pression sur le flotteur.
Si tu relies les trois points d'appuis qui forment le triangle (pied arrière-avant et point d'attache au wish)tu verras qu'en mettant plus de pression sur le pied arrière par exemple,que ton corps compensera l'équilibre en se positionnant plus vers l'avant.
Ce qui veut dire qu'en allongeant les bouts, il y aura plus de pression sur l'appui arrière et donc sur l'aileron pour caper, mais que le coprs sera plus vers l'avant ou du moins plus écarté du flotteur.

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Quoi qu'il en soit suivant l'angle d'attaque, l'équilibre doit être bon et donc réguler via la longueur des bouts.
Voilà , je ne sais pas si je me suis bien fait comprendre , donc s'il y a des questions ?

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...Tout comme la hauteur du wish.

Ca régule l'appui dans le harnais, on obtient plus de rappel en le remontant et vice versa.
Sur un plan d'eau chahuté,on obtient plus d'effet d'amortisseur au niveau du cul de la planche en le remontant.
On est plus en appui dans le harnais, ce qui permet d'alléger le poids du rider sur le flotteur en s'en écartant plus aisément, les deux jambes un peu plus tendues,en tenant compte de la longueur des boucles qui je dirais, travail en symbiose avec l'autre (wish et boucles)
Tout est une question de position du corps.
Si on est trop redressé sur sa planche en mode de survie, le nez se lève, la planche à tendance à s'envoler et on a du mal à caler sa voile.Sur du plat c'est différent, on ressent moins ce besoin de rappel.
Contrairement à ce qui se dit généralement à propos de la hauteur de wish,personnellement j'obtient plus de lift à plat en le remontant et plus de lift au niveau du nez en le descendant , ou en tout cas dans les conditions du jour, toujours avec un pdm reculé(à 128 sur l'x-fire v5 )
25 noeuds en moyenne de vent, en 7,8m2 et 105L.
Surtoilé évidement, mais je trouve que c'est dans les conditions extrêmes que l'on tire le meilleur parti des réglages.
Donc pour ma part, j'en conclu que le plus important en planche et le plus facile à retenir, est de ce demander si les 3 appuis (mains, jambes,harnais) sont bon afin de déterminer ce qu'il faut ajuster.

Testé à Herkingen sur du bon clapot ( 30,...) avec un passage furtif sur le run (34,...)

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J'ai trouvé encore un autre petit truc que je mets en pratique depuis peu et qui semble bien marcher au vu des perfs générales dans le vent léger.
Je mule à l'écoute de manière à ce que la latte au niveau du wish,ondule légèrement vers moi dans les grosses rafales.
C'est le principe des leviers qui fait que le décrochement de la voile (au niveau de l'oeillet d'écoute) se courbe comme une chute molle si la tension est précise.
De cette manière, je les anticipe nettement mieux, ce qui me permet dans un second temps de prendre plus de vitesse sans pousser plus qu'il n'en faut sur la jambe arrière et dans un troisième temps de l'augmenter en la relachant franchement via le palan.
Reste plus qu'a mettre en pratique avec des surfaces plus petites que 7.8m

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Pour ceux qui ont un peu de mal à s'y retrouver avec les réglages en général, je me permets, suivant mon niveau, de vous éclairer point par point :

1. Le pdm:

On le place de manière à modifier l'assiette du flotteur.
Si on sent que le départ au planing est difficile, on l'avance en partant du milieu.
Si la planche sature en vitesse, on le recule.


2. La hauteur du wish:

On l'ajuste en fonction du lift pour mieux passer le clapot.
Plus on le lève, plus la planche monte du nez et vis et versa.

3.la longueur des boucles de harnais :

Plus on les raccourcis, plus on a de l'appuis sur la jambe avant et inversément .

Les 3 points peuvent être modifiés séparement ou en même temps,suivant l'état du plan d'eau et de la force du vent.

Le plus compliqué étant de savoir ce qu'il faut faire, cela prend du temps et je suis parfois surpris de constater qu'une session n'est pas une autre et que le réglage d'hier ne convient pas à celui d'aujourd'hui.
Perso, j'arrive à avoir un jour un wish très haut avec des bouts longs et la semaine suivante , c'est tout l'inverse pour être bien, avec le même matos, mais pas les mêmes conditions.Je m'adapte.
Pour le pdm, c'est ce qui bouge le moins ou du moins à 1/2 cm près, voir un cm maximum et ce en fonction de la puissance de la voile.

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Salut super résumé, mais je pense qu'il y a une petite erreur:
si le départ au planning est difficil, on le recul non?
et si la planche est trop volage ou incontrolable, on l'avance?

Ha non,mais j'expliquerai le pourquoi du comment par la suite

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