Pas la peine d’en faire 12 pages…
Vince4 si tu veux des éléments tangibles, tu lui poses la question :
https://skrause.wordpress.com/2019/05/0 ... de-france/Je suis certain qu’il te répondra volontiers aussi bien sur les minis acceptables en slalom qu’en foil.
Je n’ai jamais navigué en eau douce et je ne sais pas s’il y a une différence notable avec l’eau salée ?
Pour ma part, en mer, c’est:
Départ planning à 9 noeuds en slalom 85 et 9,3
Décollage à 8-9 noeuds en foil en 8,4 et AFS 105 et aile de 1000
Dans les deux cas, pour moi tout se passe au second coup de pomping; soit tu as un retour dans la voile et tu démarres un semi-planning et tu peux continuer à pomper . Soit l’arrière du flotteur s’enfonce dans l’eau et tu attends la risée suivante …
J’ai remarqué des différences notables de rendement en fonction des vents . En hiver les vents froids et humides poussent beaucoup plus que les vents secs de l’été. Idem avec la nature du plan d’eau et les courants.
Courant de face, il faut souvent 2 noeuds de plus de vent pour partir au planning.
Et je fais gaffe quand je suis dans des vents très limites à ne pas partir à dache… On peut aller très loin au planning dans 8 noeuds ou en vol dans 7 noeuds en se créant son vent apparent et une fois le demi-tour effectué se retrouver loin de la côte dans un petit 6 noeuds !!! (Je me fais encore régulièrement piéger, surtout l’été)
PS ; Quand tu fais un peu de compête ou que tu navigues en club, il y a toujours un anémo sur le bateau ; ce n’est pas dur de s’étalonner !