Les assoces environnementales disent que la méthode de prélèvement post-attaque n'a pas prouvé scientifiquement son efficacité.
1- Ces assoces, elles, n'ont pas prouvé scientifiquement que cette méthode est inefficace, parce que:
2- Il est aussi difficile de prouver scientifiquement l'efficacité que l'inefficacité de cette méthode
3- En attendant d'avoir trouvé une méthode scientifique pour infirmer ou confirmer la validité du prélèvement, les statistiques enregistrées aussi bien à La Réunion qu'en Calédonie prouvent de manière empirique que le prélèvement fonctionne: chute évidente du nombre d'attaques à La Réunion (qui pratique le prélèvement continu et le prélèvement post-attaque) et en Calédonie (qui ne pratique que le prélèvement post-attaque) où on est passé de 5 attaques mortelles (plus d'autres non létales) en 10 mois, à zéro attaque sur une période de près de deux ans après le prélèvement de 24 squales de grande taille.

Le plan sécurité requin de la Réunion bénéficie d'un recul depuis 2014 et d'une équipe présente sur place de 8-10 personnes et d'un budget annuel de 1.6 millions € (bilan 2019) *. Il n'est pas rare de devoir attendre 10 ans pour observer un effet significatif et durable sur l'effectif d'une population ciblée. Ne pas oublier non plus qu'il y a d'autres mesures mises en place qui contribuent aussi à la diminution des attaques là-bas : vigie renforcée requin, obligation d'EPI, respect de règles strictes pour les activités nautiques dans des zones sécurisées uniquement.

Le "plan requin" (dont on ne connait pas la teneur exacte) de la NC bénéficie d'un recul depuis 2019. C'est trop court pour mesurer un éventuel impact sur une population ciblée. Impossible d'avoir un document sourcé sur le nombre exact de personnes sur place entre la mairie, la sécurité civile, la gendarmerie et la surveillance des plages ?

Au niveau scientifique, l'équipe Unité IRD 250** bénéficie de la mutualisation d'une équipe de 65 personnes*** et couvre des projets à la Réunion, en NC et à Madagascar.

(*) https://www.reunion.gouv.fr/IMG/pdf/201 ... -_2019.pdf
(**) Unité IRD 250 - UMR ENTROPIE : Ecologie marine tropicale des océans Pacifique et Indien - LE CORRE Matthieu (Université de la Réunion)
(***) https://docplayer.fr/155514283-Resume-d ... ropie.html

ça doit bien être le seul cas référencé, tu as autant de risque de te faire piétiner par un éléphant en plein Paris ou de te prendre une météorite sur la tête que de te faire mordre par un requin en plongée bouteille, c'est vraiment pas de bol
Je déplore ce shark bashing généralisé, on oublie que ces animaux sont massacrés partout sur la planète par dizaine de milliers dans une totale indifférence alors qu'ils sont un maillon essentiel dans la chaîne alimentaire, c'est plus confortable pour la conscience de penser que ce sont des bêtes assoiffées de sang qui sont nuisibles

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Flotteurs Tabou Vintage Pocket 69l, Exocet RS2 91l
Voiles MauiSails TR6 6.6, X.O shark 5.7, Simmer BlackTip 4.7, Simmer Icon 4.2, Naish Wave de 3.4
Spots de la presqu'île de Giens, Hyères

Une fois de plus il ne s'agit pas de pratiquer un massacre mais un prélèvement ciblé. Ca n'a rien à voir avec le massacre de millions de gros poissons dont les requins, mais pas que ne l'oublions pas, que je suis le premier à déplorer...

On l'écrit à chaque page, mais certains sont durs de la comprenure. La répétition est la mère de l'enseignement, paraît-il. On a déjà réussi à en faire changer quelques uns d'avis en la matière, c'est un petit acquis.

Ce que vous n'avez pas encore réussi à comprendre, mais qu’on va vous réexpliquer :

Vous nous vendez la pèche au requins pour que vous puissiez continuer à profiter de vos loisirs et aller dans l'eau.
Vous pourrez essayer tout ce que vous voudrez, ça ne passera pas.
Qu'est ce que vous ne comprenez pas la dedans?!

On a bien compris que tu es de ceux qui ne changent jamais d'avis (il existe d'ailleurs un adjectif pour les qualifier); nos explications ne s'adressent donc pas à toi.
Il y en a d'autres qui se sont donnés la peine de comprendre notre point de vue et surtout, de parcourir l'abondante littérature et de visionner les vidéos que HyperSonic a partagées avec nous et qui après l'avoir fait, ont changé d'opinion. Pas plus que nous, ils ne prônent une pêche de masse et sans discrimination des squales.
Tu as le droit de privilégier la vie d'un requin à celle d'un être humain. De mon côté, je fais le choix inverse, c'est tout.

Tu ne vas pas à l'eau, je ne vois pas ce que tu risques.
Problème réglé.

Je n'y avais pas pensé; merci! Tu devais être premier de ta classe pour avoir des idées aussi brillantes.

C’est beau!
J'en chiale!...

Et continue les insultes, je savoure.

Pour apporter ma pierre à l'édifice et te montrer que malgré mes difficultés scolaires j'essaie de faire avancer, je te propose de planter un palétuvier par requin tué.

Existe-t-il un suivi par géolocalisation de quelques spécimens bien distincts de par leur grande taille ?
Cela se fait pour les dauphins, les tortues, pourquoi cela ne pourrait-il pas se faire pour des gros requins que l'on jugerait potentiellement dangereux ?
En connaissant leurs lieux de chasse et leurs itinéraires, cela aiderait à mieux comprendre et à prendre les initiatives en conséquence, en étant capable de les localiser avec précision, l'alerte pourrait être donnée.
De quelle façon on les prélève ?
Au filet ? A la ligne ? Au fusil ? Au harpon ?
Une fois prélevé "vivant", il serait possible de leur loger une sonde avant de les relâcher, non ?
Je suis trop dans le mythe du film "Les dents de la mer" ? On ne peut faire ça qu'au cinéma, pas dans la réalité ?

* J'ai pas lu tous les articles postés ici, ça se fait peut-être déjà en fait.

Quand la NC annonce la mise en place de prélèvement, cela devrait s'accompagner de tout un tas de mesures comme l'étude des populations de l'écosystème marin notamment dans la chaine alimentaire proche des requins (tortue et dorade notamment), mise en place d'une surveillance par drone (ou par ballon captif+ camera 8K + IA pour détection des requins dans les eaux claires et peu profondes), l'obligation d'EPI, restriction des zones de nav' et de baignades, ...

Là, on a l'impression que les pratiquants de sports nautiques et les autorités n'envisagent que des mesures simplistes en faisant payer uniquement aux requins le tribu de cette difficile cohabitation.

Etant inventeur, j'ai plein d'idées en tête qui permettraient j'espère d'aider à résoudre le problème

mais force est de constater qu'il n'y a pas l'air d'avoir beaucoup de volonté exprimé par les planchistes NC de chercher d'autres pistes

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Ce que vous ne semblez pas comprendre, c'est que la situation actuelle découle d'un dérèglement de l'écosystème. Dérèglement dont l'homme est à l'origine et menace d'une part les humains (faire le choix entre requin et humain, c'est une question d'éthique et je ne rentre pas là dedans), mais surtout menace le reste de l'écosystème car surpopulation de gros prédateurs.

Alors si je dois faire le choix entre un écosystème dont on peut limiter le dérèglement par le prélèvement de quelques requins parmi les plus gros VS ces gros requins en question... Je choisis 100 fois de prélever quelques requins pour préserver le lagon et l'écosystème. Et d'ailleurs, dans un environnement avec trop de gros prédateurs, à un moment la nourriture manque et les gros prédateurs en pâtissent eux même.

Donc, on ne parle pas du problème des riders ou nageurs mais d'un problème bien plus large.

Et par contre, dire "tu ne te baignes pas", c'est vraiment juste une remarque non constructive puisque sur une ile avec un climat et un lagon comme la Caledonie, ne pas profiter de la mer est juste une option non-envisageable.

En décembre cet hiver, mon associée et sa famille ont fait un stage d'initiation à la plongée en groupe organisé à ST Leu ; il y avait en même temps un club de surf en cours avec un encadrement bateau + jet je crois. 0 problème...

Comme quoi il existe peut être une autre voie que la solution d'élimination du problème ayant recours à la tuerie systématique.
-Dans les zones et pour les périodes tendues, une organisation (basée sur le volontariat ?) de veille / surveillance tournante permettant de se mettre à l'eau dans un espace contrôlé avec activation d'une alerte/replie en cas d'approche.
-Cela évidemment en remettant en place aussi en parallèle les conditions possibles de subsistances des squales, de manière naturelle (zones sans pêches intensives pour reconstituer leurs provisions) ou lié à l'activité humaine (ne pas les sevrer du jour au lendemain avec des interdictions de rejet pour lequel aucun palliatif n'aurait été anticipé... , cf post de Nico, pages précédentes) pour les éloigner des zones de pratiques.
Plus contraignant que le "prélèvement" c'est sur mais mieux que les moyens "passifs" seuls (barrières filets etc), il y a toujours une faille (suffit de regarder les films ! ) donc la vigilance restera indispensable.

Edit, Rédigé avant la diffusion du dernier post de Nico ci dessus
Edit 2 je n'avais pas vu le post d'Antoine, on est d'accord

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82 kg S'il n'y a pas de pied de mat, j'en veux pas !
« You don’t ask the sea any questions, you just dress for the occasion ». Douwe Gaastra.

certainement mais cela s'étudie, il doit y avoir quelques biologistes marins/océanographes en NC qui doivent avoir un avis sur la question. Il faudrait qu'on puisse les entendre pour se faire une idée juste


Je comprends et à priori d'accord néanmoins, il y a toute une littérature sur les problèmes des cycles écologiques pour les problèmes du type renards/lapins (chasseur/chassés). Souvent ce qui ressort est que ces cycles sont aussi un moyen de sélection naturelle pour garder les individus d'une espèce les plus aptes. Un ecosystème n'est donc pas forcément stable et peu aussi être cyclique pour son plus grand bénéfice
Encore une fois, il faut l'avis d'experts du milieu marin

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