NP addict depuis 20 ans, je m’aperçois que depuis les Evo 13, 14, 15 et visiblement 16, le fourreau de mât subit une usure (coupure) à la jonction des 2 parties du mât. Est-ce un problème isolé à certaines tailles ? Pas le bon mât ?
Cette problématique se retrouve chez d’autres marques de voiles ?

Cela m'arrivait il y a très longtemps (25 ans et plus) quand je naviguais en Pryde, mais je serais très surpris qu'il s'agisse d'un problème perdurant au fil du temps.
Je n'ai jamais eu ce problème avec d'autres marques.
C'est probablement dû à un ajustement moyen des parties haute et basse du mât; serait-il possible de régler ce problème tout simplement en ponçant au papier de verre la matière qui dépasse à la jonction?

Ou en posant un tour de gros scotch à la jonction (ce qui évite l'entrée de sable au passage) ?

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F195 - Mes feedbacks

À vendre :
- pack wing AFS
- Tabou Manta 61
- S2 Maui Dragon 4.6 + S2 Maui Venom 7.7, 8.4 (×2) et 9.3
- wishbone carbone XO 200-250 neuf

Bonjour,

Le problème c'est que ça n'est pas lié au mat. C'est tout le fourreau qui peut s'ouvrir un peu n'importe ou sous l'effet de la tension global du bord d'attaque, entre la têtière et la fenêtre de wish. Forcement cela ouvre plutot au centre autour de la zone jonction de mat, mais nous aurions des mats une partie le problème serait le même.
Le fourreau est du vrai papier à cigarette, sans aucun, je dis bien, sans aucun renfort (couture front, tissu un peu plus épais ou renfort matière plastique). Sauf erreur ce problème est né quand la production des voiles a changé de lieu, ce qui n'explique pas un changement de conception ....

Les Evo 10 / 11 n'avaient pas ce problème, de mémoire elles avaient une couture en front sur le bord d'attaque.

Un copain est allé voir le commercial NEILPRYDE pendant le Défi, le commercial a fait la sourde oreille, logique. Le problème est ultra connu de tous, les voiles qui ont le problème retournent aux shops et partent en garantie. Aucune idée de la proportion de voile, il s'en vend peu de ce type de voile maintenant.

Le commercial a fini par dire "on fait des voiles ultra light il peut y avoir des problèmes", mon pote l'a invité à aller voir la construction des Loft Sails sur le stand juste en face et de comparer le poids de la 5.6 Loft à la NEILPRYDE EVO 5.6, la discussion s'est arrêtée la (les voiles font le même poids en donnée constructeur, et la construction de la Loft est béton avec beaucoup de renfort partout).

Après les voiles NEILPRYDE sont magiques, nous sommes assez nombreux à avoir le 5.6 comme voile centrale sur GRUISSAN, elle est vraiment magique cette surface pour le spot.

Quand elles s'ouvrent en deux, je ne suis pas certain qu'elles soient toujours aussi "magiques"

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À vendre :
- pack wing AFS
- Tabou Manta 61
- S2 Maui Dragon 4.6 + S2 Maui Venom 7.7, 8.4 (×2) et 9.3
- wishbone carbone XO 200-250 neuf

Oui forcement quand tu navigues avec deux morceaux c'est moins magique. De ce que j'ai entendu, la garantie passe avant quand même. Disons que Pierre sera champion de monde avant d'avoir le problème

Décidément, malgré les changements de propriétaires (M. Neil Pryde, puis Shriro, et maintenant le distributeur allemand) et de designers après Barry Spanier (Nils Rosenblad et maintenant Robert Stroj), une constante semble demeurer chez Pryde: ils font des voiles extrêmement performantes (on le voit encore à Tenerife), mais qui peinent à tenir toute une année. Je me souviens de copains ayant du mal à pouvoir naviguer jusqu'à l'arrivée de leurs nouvelles RS:Slalom dans les années 2000 (à Nouméa on navigue toute l'année, donc les voiles font beaucoup de sorties), parce que la voile se désintégrait (lattes et même luff strip qui cassaient net, entre autres "joyeusetés"). Raison pour laquelle, après avoir navigué quasi exclusivement avec des Pryde pendant 20 ans, mes dernières voiles de la marque ont été des RX2 (année: environ 2000).

Je me souviens que Pryde avait expliqué que cette absence de coutures de renfort sur le devant du fourreau de mât était un choix délibéré permettant de gagner en aérodynamique.
Bonne idée pour les coureurs sponsorisés qui gagnent en performance et ne paient pas leurs voiles, un peu moins bonne pour tous les autres.

Au fil du temps, le mât TPX forme une petite balai à l'endroit où le top repose sur la partie inférieure, ce qui endommage le forreau (dans mon cas avec evo 11 7,8 ).

Et dans l'evo 12 9.0, la couture du forreau se défait sous l'effet de la pression, au-dessus du camber supérieur (mat challenger)

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Toutes mes interventions se font avec google translate, en modifiant les absurdités avec mon français précaire. Je demande des excuses