Casses de mâts diverses et variées, avec en particulier un retour à pied depuis Lachanau jusqu'à Hourtin-Port, en hiver bien sûr ......... et en Espagne à Vinaros l'été 2012, 3/4 d'heures de natation pour mettre pied sur la plage, avec la trouille de finir dans les rochers !

casse tendon au large à Lacanau-Ville, une grosse heure de baignade pour rentrer, en été heureusement !

Départ en formula vent Ouest/Nord Ouest depuis Hourtin-Port, je tire un long bord jusqu'à la baie de L'UCPA, arrivé là-bas le vent tombe complètement, je mets une heure pour simplement mettre pied sur la côte Est. Puis retour à pied pendant 1h30, la nuit commence à tomber, arrivé vers Lachanau, un souffle de vent d'Ouest me permets de rentrer au camp de base à la nuit tombée .....

Départ Hourtin-Port en 7 m2 + planche 100 litres vent plein Nord, arrivé côté Ouest du Lac le vent prends 10/15 noeuds, impossible de tenir la voile, je reste assis sur la planche an attendant que ça passe, ça a mis une bonne demi-heure à baisser ...... ensuite le vent est passé à l'Ouest, j'ai posé les pieds sur la pointe du CVHM à Piqueyrot puis retour en 1 bord au Port. En hiver bien sûr (again !) ......

Port Navalo, on se mets à l'eau depuis la petite plage avec un pote et son fils, celui-ci tombe et n'arrive plus à remonter sur sa planche, le courant l'attire dans l'entrée du golfe du Morbihan, on se laisse dériver avec lui, on arrive à nager vers les 2 minuscules bouts de plage de galets de 2 mètres de large juste dans l'entrée du Golfe. Bol pour moi j'arrive à sortir mon matos en évitant les rochers, pas de bol pour mes amis, voile déchirée, boards cognées contre les rochers.

Maubuisson Mai 2011, Isonic 117 et RSR 7,8 m2, belle session ensoleillée vent Nord-Ouest, pour une raison que j'ignore toujours, grosse gamelle, je sens une grosse douleur dans le cou pendant la chute, en sortant de l'eau, je sens des picotements au niveau de mon bras gauche et une grosse baisse de force dans ce bras, je me remets de mes émotion pour m'apercevoir que le gréement a explosé (mât cassé en 3, voile déchirée). Heureusement mes potes demandent à Olivier de Force7 (location matos) de venir me chercher en bateau. Il me soulève dans son bateau grâce à mon gilet de sauvetage.
Aidé par mes amis pour dégréer et rentrer à la maison. A la maison, direction les urgences, cervicales touchées, opération en urgence le lendemain matin ......... j'ai failli y laisser mes 4 membres, un miracle 5 semaines plus tard, je reprends le travail, 4 mois plus tard la planche ..........

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Wind : Starboard IS 83 72 + S2MAUI VENOM 19/20
Windfoil : XT design 218 x 91 + PHANTOM RF 21 + AFS105 2021 (R-810/R-660+stab V2)
Wingfoil : AFS Blackbird Midlenght 6,3 + VAYU X-Race 6,5 + Duotone SLICK SLS 5,5/4,5/4 + AFS Performer UHM 97 + AEROMOD Race

En windsurf aussi on peut avoir un accident...

Défi 2013, manche N°4.
Il y a du gaz, je suis en CA 55 et TR 5 5.10 pour mes 75 kgs, départ en fond de ligne au large derrière le rideau des pros, ça passe, et pour une fois je sens bien la manche. Bouée 1 à Port La Nouvelle ok, retour, bouée 2 vers les Chalets ok, descente numéro 2, jibe 3 ok, remontée, j'arrive à attraper l'eau plate et je gratte plein de collègues "numérotés", je me dis que la manche va être bonne. Passage de l'embouchure de l'ayrolle, je reprends l'eau plate ensuite, et là, le crash: je fais une touchette sur un tas de sable/terre immergé. La catapulte au harnais est très violente. J'arrive à me relever, j'ai pied mais un problème: les deux épaules luxées! la droite, c'est une récidive, elle est fragile depuis 20 ans suite à des fadaises en montagne, Je la réduits de suite. La gauche, c'est une première luxation, autant dire douleur = 11 sur une échelle de 1 à 10. Connaissant le geste pour réduire, je tente le coup mais ça ne marche pas, je commence vraiment à flipper parce que personne ne s'arrête et je me vois mal attendre qu'ils ratissent la zone en fin de course. Je retente le coup en calant le flotteur sur la tranche sous le bras pour faire appuis, je force un coup sec, et miracle, je sens l'articulation se remettre en place! j'essaie de repartir en gardant le bras gauche le plus près possible du corps, plusieurs échecs (il y a du vent!!!), et finalement, j'arrive à me hisser directement au harnais, bras droit très en arrière et corps très en avant pour ne pas écarter le bras gauche du corps...Je termine la manche vers la 450 ième place.
La ligne passée, impossible d'aller jiber au fond pour le retour plage; je choisis de viser un zodiac de pompiers, j'arrive dessus en hurlant, je tombe devant eux, l'épaule se luxe à nouveau, je ne peux nager qu'avec les jambes!!! Mais ils sont là, un d'eux se met à l'eau pour me pousser tandis qu'un second me hisse sur le zodiac et que le troisième tient le bateau au moteur face aux éléments. Dans le zodiac, ils me demandent comment j'ai fait pour arriver à finir dans un tel état, ça leur semble irréel...Direction le poste de secours: on me diagnostique que l'épaule est réduite, qu'il n'y a en principe pas de risque d'hémorragie interne, et on me fait un bandage "paquet cadeau". Ils me ramènent le matos dans la zone de secours, rien n'a été cassé, CA et MS c'est du costaud.

Bilan médical: scanner et consultation en médecine du sport à Toulouse trois jours après: l'épaule gauche a eu deux fractures (trochiter et glène de l'omoplate), les tendons n'ont pas été arrachés mais distendus, quelques déchirures musculaires; la droite avait "l'habitude" de ces péripéties.

Après beaucoup de Kiné fine et rééducative, je n'ai pas encore navigué, mais j'ai évité l'opération, et la médecine sportive m'a confirmé que je pouvais reprendre de la musculation et la navigation en douceur. J'appréhende un peu la reprise, j'espère que je n'aurai pas de mauvaise surprise.
Pendant ces mois sans planche, j'ai heureusement pu re-pratiquer très vite le cyclisme, ça maintient!

Dernière chose: je remercie mon bon vieux casque GATH d'avoir encaissé le choc dans le mât à la place de ma tête, ça aurait pu être bien plus grave.
Et c'était mon dixième défi Wind...

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C'est chouette la planche à voile!

Au final je sais pas si c'était une bonne idée ce post, j'en ai mal rien qu'à vous lire!!

Une autre, 2012 plage de Soulac avec 2 potes, l'un d'eux est venu avec sa cam pour filmer!!Cool
Le vent de Nord-est assez fort et températures polaires. Quelques belles rampes pour décoller.
Je suis un peu speedé car j'arrive sur zone à 15h30 et je dois enchaîner le boulot à 19h00, c'est à près de 1h30 de route, et ce soir c'est moi le cuistot!
J'ai donc seulement 2h00 pour gréer, rider, et dégréer
Soit 1H00 dans l'eau seulement...

Le gréage se passe mal, j’enchaine toutes les poisses : le mat pas bien inséré dans la têtière, le wish se bloque, etc, etc!!
Je pars finalement à l'eau, direct, sans échauffement.
Là je pète un bout de harnais
Vu la difficulté de passer la barre, je tente une réparation de fortune sans revenir au bord.
Pas de bol ça ne fonctionne pas!
Je décide de changer de wish.
Chose faite je repars dans l'eau hyper énervé et là direct j'envoie un frontloop à hauteur de mât.
La réception est ultra violente, à plat.
Je ressens une méga douleur dans le genou gauche. et je rentre à la plage et me faisant traîner.
Mes potes alertés me remontent le matos et le rangent. Heureusement qu'ils étaient là je pouvais à peine marcher.
Sur la route du retour je m'arrête à une pharmacie pour acheter un anti douleur, et je passe la nuit au travail.

Le lendemain je vois mon médecin de famille qui me fait le test du tiroir et ne voit rien.
Inquiet je finis par aller à la clinique du sport et après une IRM le diagnostic tombe, LCA pété, ménisque félé, plateau tibial fracturé et tendons arrachés...probablement suite une trop grande sollicitation du muscle et à une sur-flexion du genou lors de la réception faite à froid sans échauffement.

Bilan pas d'opération, 6 mois de rééduc intensive pour muscler un quadri en béton et au final peu ou pas de séquelles.

Mais je ne pense pas avoir droit à un deuxième jocker. Du coup lorsque c'est critique je prends ma genouillère...

1985 Leucate, Tram moyenne (F5) : je passe à travers ma voile au jibe, à environ 3 km au large ==> je laisse la voile au large, et je nage 1h30 sous la planche. A environ 6/700m du bord, un planchiste me repère et envoie un Zodiac. Bilan : une grosse frayeur (immeubles tout petits au fond, et l'impression de pas avancer en nageant...), une voile et les dessous de bras épluchés par la combi en nageant

1988 Etang Salé, Reunion : je passe la barre avec un vent en sens inverse des Alizés. Jibe au large, retour, et gros spinout : l'aileron s'est barré au fond. Il me reste les 2 fins du thruster, mais ça permet ps d'avancer au planing. Je dérive, et je me retrouve devant la barrière de corail là ou y'a pas de fond. Impécable, je me dis que je vais traverser à pied. Sauf qu'il y a des oursins avec des piquants de 20 cm un peu partout... Je me remets dans la flotte et je dois nager 15 mn devant la barrière pour remonter au vent là ou il y a suffisament de flotte pour passer... Grand moment de solitude en pensant à toutes les bestioles qui sont sous la surface...

1990 Carro : Séries de 2m, nickel. Au bout d'1 h, le vent tombe complètement... Le courant me pousse vers la dalle, et au lieu d'attendre pour passer par la crique un peu plus loin, je décide de sortir par la dalle...blindée de moules. Atterrissage impécable, planche dans une main, voile dans l'autre, je me fais déposer nickel par une vague, super fier de rien avoir pété. Sur le chemin du retour, je sens le pied qui pique et vois une trace de sang derrière moi : pied déchiré sur toute la longueur, plus le gros orteil. 15 jours de béquille...

2005 Défi Gruissan : Manche 3, je fais un soleil juste devant la digue du port alors qu'il me restait l'aller/retour plage des chalets pour finir. Tétière explosée, la voile descend sur le mat presque jusqu'au wish. Je suis bien placé, je décide de finir. J'en chierai pendant 20 mn pour faire ce putain de km, m'écrouler sur le bateau de la ligne et prendre une 175° place qui me fout les boules...

2005 Gruissan en aout : grosse bourre avec le Garrel, je suis juste dans son sillage, et tout d'un coup, crac le mat, en plein nav... Grosse gamelle, je suis juste après l'Ayrole, soit 3 bornes au bas mot pour rentrer à pinces... David a vu le truc, il revient vers moi et me dis : "T'as mon camion garé pas loin, je te sors un mat, tu me le rendras ce soir.". Royal, merci monsieur! Mais ça m'a vacciné des X7...

2011 Cotentin : gamelle quasi vent arrière dans une molle, je tombe droit derrière la planche...et le gros orteil passe trop près de l'aileron. UN SL2, ça coupe... Ca pisse le sang de partout, je dégrée sur le sable en en foutant plein la plaie. REntré à la maison, je tente de nettoyer, mais c'est profond et j'arrive pas à tout sortir. Direction les urgences pour une petite anesthésie, un nettoyage en règle et 5 points de suture (mes premiers... Émotion!)...

2012 Gruissan plein été : petit A/R Chalets PLN par toute petite Tram (9.5/SLW) et plein cagnard. Ayrole au retour, je pompe, et crac le mat. 45 mn de natation pour rentrer sans qu'un des c...ns de touristes en zod/jet/bateau ne pense à venir me filer un coup de main. Pour finir, je me fais klaxonner par le naze qui traîne la banane à touristes en rentrant dans le port...

2013 Gruissan plein automne : départ de PLN en 7.8, je pompe, et re-crac le mat... Décidemment, c'est l'hécatombe des 490... 15 mn de nage/marche pour rentrer, ça va...

Au final, pas grand chose pour plus de 35 ans de pratique...

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Oui on sait, le windsurf est un super sport pratiqué par des connards (c'est pas de moi, c'est de Kipu) donc continuons à nous contenter d'une presse de merde, de boards en carton et de forums en mode pilotage automatique qui ne veulent froisser personne en vivant dans le souvenir d'une époque où le planchiste avait l'air d'un mec "cool". - Paquito, 20/12/2013

AH, quand même!!!!

Bof, finalement, rien de grave et pas grand chose vu le nombre d'années.
Bon, j'ai pas tout mis non plus, les petites frayeurs qui auraient pu mal tourner et autres...

Genre :
- 1992, Sainte Anne : je suis en planche de "slalom" (F2 Bullit Race/North Gamma 6.4) dans le bas du lagon, et je sors par la grande passe. La vague est belle sur la plage de la communale, je décide d'aller voir... Comme la planche tourne plutot bien, je m'enquille un ou 2 surfs tranquilles sur 1.5/2 m. Vague suivante, ça a l'air plus gros, mais ça le fait. J'enquille le bottom comme d'hab, mais la Gamma, c'est du MyTriStop (donc pas transparent du tout!!!) avec une fenêtre ridiculement petite et surtout trop basse. Résultat, je ne vois absolument pas la vague qui casse bien plus tôt que d'habitude parce qu'elle est plutôt à 2.50/3m. Je me prends la déferlante de la lèvre en plein dans le gréément en bas du bottom et me fais exploser proprement (couché sur le dos et ensuite brassage en règle)... Bilan : une montre Casio G-Shock au fond (le bracelet a pété à l'impact...), un wish North alu en forme de O (pas cassé mais bon...) et un AL7075 avec un magnifique coude à 30° au milieu... J'ai été étonné que le mat pète pas et que la voile soit intacte... Retour un peu galère, mais avec le volume du flotteur, ça le fait pas trop mal. Depuis, j'évite les spots de vague en matos de slalom pour pas faire du petit bois...

- 1994, Le Moule : ma première nav sur ce spot. J'ai bien repéré les passes du bord, je me dirige droit sur celle au vent (la plus petite, environ 3/4 m de large...), et go, ça sort. Dehors 1.5 à 2.5, surf babord. C'est superbe, mais ça joue devant la caye ou y'a vraiment pas d'eau et c'est pas trop mon coté: Bref, pas rassuré, je décide de rentrer. Sauf que le vent est un poil léger, et y'a un jus pas possible en travers de la passe!!! Je vais me trainer tant bien que mal au milieu, puis me jeter à l'eau avant que le courant me foute sur les blocs et finir à la nage en pédalant comme un dératé pendant 5 mn... Première et dernière sortie au Moule... J'ai pas osé y ressortir l'an dernier alors que j'avais l'appart en face du spot et la SeaLion sur le balcon...

- 2011, Siouville : en parlant de la SeaLion, elle m'a fait un coup fumeux, ce jour là : surf backside parce que vent onshore, je rentre dans la vague et cape pour aller chopper la lèvre. Ca déferle un poil plus tôt que prévu, et la planche se fait mettre sur la tranche par son gros volume. Le probème, c'est que j'avais le pied bien avancé parce que vent faible, et que je me suis retrouvé coincé entre le pied de mat et le flotteur pour une belle culbute dans le rouleau... Groooosse douleur au coup de pied, je rentre en cata, et direction l'hosto de Cherbourg. Entorse sur le dessus du pied, 20 jours de repos, mais rien de cassé!

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Oui on sait, le windsurf est un super sport pratiqué par des connards (c'est pas de moi, c'est de Kipu) donc continuons à nous contenter d'une presse de merde, de boards en carton et de forums en mode pilotage automatique qui ne veulent froisser personne en vivant dans le souvenir d'une époque où le planchiste avait l'air d'un mec "cool". - Paquito, 20/12/2013

Une seule vraie grosse galère (je ne compte pas les séances de natation forcée, les coupures d'aileron etc):

C'est pendant une manche d' une Transjaï, il y a quelques années , Mistral pas violent mais dans les 20 nds.

Un bord au travers, plein pot, le mât casse brutalement , me voilà projetée dans les airs genre salto latéral MAIS toujours accrochée au harnais, tout le matos a jumpé.

Je me retrouve sous l'eau, enroulée comme un nem dans la voile qui est à la verticale, vers le fond, le mât cassé frotte sur mon front et je ne peux pas bouger les bras (le nem!!) .

Le bout du wish est enroulé serré (j'ai fait un tour complet en l'air semble t-il) autour du crochet du harnais.

Je sens la sangle du harnais (il s'ouvre des deux côtés, avec une seule main) sous ma main gauche, je tire, ça glisse, je défais le bout du wish, je descends dans la voile-nem(seule sortie possible...), me retrouve encore plus profondément sous l'eau mais il ne me reste plus qu'à remonter...
Bonjour le retour à la surface et l'inspiration ...

Sur le moment, je n'ai pensé qu'à m'en sortir, c'est après que j'ai compris que j'aurai pu y rester. Et que la trouille m'est venue!

Un bateau de surveillance avait vu au loin mon acrobatie aérienne et arrivait, mais il a eu aussi très peur vu le temps où je suis restée sous l'eau.

Depuis, je n'arrive pas à être tranquille avec les harnais où on a besoin des deux mains pour se libérer, et pourtant je n'ai vécu ça qu'une fois.

Une vertèbre déplacée au milieu du dos car la traction avait été latérale, mais ça se remet vite en place avec un bon spécialiste.
Un mât cassé, une voile déchirée, un wish bon pour la poubelle...

Une galère plus rigolote qu'autre chose: une manche du Défi (je ne me souviens plus de l'année) ventée au départ (AHD 53 et 5,2 nitro) et le vent nous lâche dès qu'on passe la digue du fond de la plage des chalets car El Bur avait mis une bouée au niveau de Mateille.
Là, on est tous dans l'eau et c'est bien connu, les mecs, ça s'énerve!!! ça gueule tellement que j'en ai plein les oreilles...
On a mis un temps fou à rentrer mais j'ai battu mon record de nombre de waterstars: 53 .

Une autre manche du Défi ou le vent se lève fort juste après le deuxième bord : je suis obligée de sortir les pieds des straps car je n'arrête pas de faire des en avants... je me dis que j'arrête à la fin du premier tour.
Arrivée au bateau-bouée, je décide que non, je vais finir et je repars pour un tour avec la voile ouverte (5,8) et les pieds hors des straps .
Bon, le soir je n'en pouvais plus physiquement et moralement, je me sentais une pauvre petite chose que de ne pas arriver à tenir(ah si j'avais les bras de mon mari !!! ).
J'en parle à un ami qui m'avoue avoir aussi sorti le pied arrière par moment. Et c'est un bon. Finalement, cette galère m'avait montré combien je pouvais serrer les dents. Mais comme c'était dur de rentrer au bord sur cette plage des chalets...

On te dirait bonjour Fabrice ahahahah
Bien le bonjour à vous 2!

Comme quoi il ne faut pas être au large pour boire la (les) tasses.
Au PARC, pas beaucoup d'hauteur de flotte (35/45cms selon les endroits) suite une bonne semaine de grosse tram et toujours avec cette grosse tram une boitasse speedée de chez speedée et je me retrouve coincé sous la voile, un peu groggy, un pied bloqué dans un strap, coincé aussi par le bout de harnais et impossible de me dégager vu le manque de flotte et une tram qui appuie sur la voile de toutes ses forces pour m'empêcher de remonter.
Au final j'ai constaté, après plusieurs tasses, que l'eau du PARC est très salée. Mais sale impression quand même: de plus l'eau, l'hiver, dans ces conditions, est carrément couleur boue.
Après la liste serait trop longue donc je passe

allez ,billy a toi pour samedi dernier .......en 7.8 dans 35knots..pour testé la v max de la 114 .....
bon ok c'est pas la rubrique ...je sors
mais de toute façon on s'est tous ou toutes un jour brisé un membre , un ligament ,un muscle (mort ou pas ) ,une cote ou 2 ;ce sport demande de l'engagement et du débranchage de cerveau .Certain n'en sont jamais revenu ,d'autres ont eu très chaud ,les limites sont fragiles comme les corps humains .....

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manta 79 / carbon art 62 PM - 52
voile slalom RS RACING evo2

vmax 35.71 maubuisson (33) 070310
vmax 37.67 sud ....(11) 290810

2004 ou 2005 la galère ce jour là du vent puis a la nage sous mateille........... on aurait eu des cartes on pouvait jouer au poker!!!

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gege
Slalom:6.3 loft blade 2016 "F349",flotteur EXOCET RS1 ,ailerons Deboichet SL2 SL4 SL5 SL7 ;VENOM C3;ERD

Vague freeride :SIMMER ION ET WAVE 4.2 &4.7 flotteur fanatic freewave 2016 86 l aileron 21/23

VTT :GIANT REIGN &HAIBIKE AE SDURO
MOTO : CBR

Leucate spot de La mine années 2000 Tiga 254 et voile UP 3,5m donc tram bien forte, dernier jour des vacances de la Toussaint:au jibe tout au fond le gréement me reste dans les mains et le flotteur se barre, tendon cassé. Le temps de comprendre la situation le flotteur part déjà sous le le vent. je nage, vite , le plus vite possible en direction du flotteur mais j'ai un blouson genre kway sur la combi ça aide pas, je le largue et je reprends ma course mais avec le clapot et le vent au cul le flotteur va plus vite que moi, impossible de le rattraper. en nageant je me suis décalé sous le vent et je ne suis plus dans la trajectoire des gars qui partent de La mine et il y a de l'eau dans le lac et je n'ai plus pieds. Je remonte le vent en nageant et croise mon gréement qui n'a pas encore complétement coulé, je le récupère et me dirige vers Fitou ou je retrouve la terre ferme. Des gars finissent par me voir et me proposent de me ramener à la Mine. On dégrée et 2 gars ramènent le gréement et le 3ème me propose de traverser, allongé dans l'eau accroché à son strap arrière ! On y va comme ça! ça lui tire un maximum dans les bras mais on avance plutôt vite, par contre je prends une gros remous dans la tête et j'avale un maximum d'eau par tous les trous! Mon pilote sera relayé par ses 2 potes sur le parcours car c'est vraiment dur mais ils me ramènent à bon port.
Je tremble un peu et on me dit un peu violet mais je n'ai qu'une préoccupation retrouver le flotteur.
On range vite le matos restant dans le camion et on file au Parc à huitres. Je demande au bord s'ils ont vu arriver un flotteur, rien! je demande à une fille qui attend son copain qui me dit aussi ne rien avoir vu mais qui ne comprend pas comment son copain navigue alors que son flotteur est au bord.......de retour à terre 1/2 heure plus tard il avait bien récupéré mon flotteur et naviguait avec! Je récupère le flotteur et on prend la route du retour
Arrivé du coté de Toulouse je suis en nage , j'ai froid, je temble et ça va pas bien. après 2 bonnes heures de pause et un repas chaud on repartira jusqu'à destination sans pb.
La rochelle Les minimes , il n'y avait pas encore l'épi et la partie réservée aux planchistes , marée basse, fin de session hivernale, j'ai navigué seul. je remonte le gréement sur le parking, bois un coup et repars chercher le flotteur. Arrivé sur la plage plus de flotteur.Pas un chat sur la plage; je cours partout j'essaye de comprendre, le seul truc qui bouge le camion benne des employés communaux qui s'en va sur le front de mer. je cours après, effectivement ils avaient cru le flotteur déposé par la mer et l'avaient embarqué et mis dans la benne!
Châtelaillon-plage fin de session hivernale, solitaire et matinale face à la maison. Je me fais croquer par le shore break, je tombe sous la voile. Allongé au sol impossible de sortir il y a tres peu d'eau au dessus mais le resac met une telle pression, je bois la tasse à plusieurs reprises et je finis par ramper à l'extérieur de la voile, ouf!
Nationale 11, 2x2 voies entre Niort et La rochelle. retour de régate au club d'Eole 79 avec les 2 bic 293 des enfants sur le toit du camping car. "Papa ya une planche qui s'est envolée!". Arrêt d'urgence, je vois pas la planche, elle est passée de l'autre coté des rails sur l'autre voie ..ou viennent de passer 2 motards de la police !!!! je récupère le flotteur et le ressangle sur le toit avec le 2nd flotteur qui n'avait pas bougé. Les motards ont fait 1/2 tour et arrivent toute sirène hurlante. Excuses appuyées, Ils me passent une buffée, normal! Et cherchent pendant une 1/2 heure sur leur bouquin l'article qui permettra de me mettre une amende; ils trouvent pas et finissent par nous laisser repartir!

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Fanatic Falcon speed +housse + aileron 100€,dispo La Rochelle

ah je m'en souviens de cette bouée, je devais pas être bien loin et j'ai gueulé TRES fort ce jour là aussi...ça devait être en 2002.

Des galères ou situations cocasses j'en ai eu à la pelle, donc cela se fera en plusieurs épisodes.

Premiere présentation sous forme de video décrivant ce qui m'était arrivé lors d'un mois d'octobre 2005 (je crois) à Cannes au Mouré Rouge :

http://www.youtube.com/watch?v=Y_hmyy81 ... 1891E544F0

L'histoire commence à la minute 27:40

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Formula Starboard 161, North Sails 9.3, Loft Sails 11.0
Slalom Mistral Red SL 80, Pryde MKII 6.2
Custom Vague Island Feeling 78l, Loft 6.1, Gun 5.3, Gaastra 4.7, North 4.7, Gun 4.2