Vincent a écrit:
Sans doute plein "d'articles" pour en parler sur internet !

Je réponds à te demande Vincent, quelques paragraphes issus d'un gros dossier dans la revue néosanté
Vaccins de génie génétiqueParmi les nombreux vaccins candidats, il semble que les premiers en tête soient presque tous des vaccins utilisant des technologies de ‘génie génétique’. Le vaccin d’Oxford ou ChAdOx1, produit par Astra Zeneca, qui sera probablement un des principaux vaccins sur le marché européen, utilise une séquence génétique de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, mais fonctionne encore comme un vaccin ‘classique’, tandis que les autres opèrent selon un tout autre modèle. ChAdOx nCoV-19 et les vaccins mRNA sont similaires en ce qu'ils fournissent du matériel génétique aux cellules pour induire une réponse immunitaire. La différence réside principalement dans la manière dont ils sont délivrés. Avec le ChAdOx nCoV-19, le matériel génétique est amené via un vecteur qui est un virus de chimpanzé. Cet adénovirus est censé stimuler des réponses immunitaires très robustes, à la fois des anticorps et des cellules T. Grosso modo, l’on injecte un virus de singe trafiqué avec le génome du coronavirus pour stimuler une réponse immunitaire.
En revanche, les vaccins mARN (messagers acides rhibonucléiques) reposent sur une technologie tout à fait nouvelle et expérimentale, qui n’a plus grand-chose à voir avec la vaccination. Bill Gates, qui pousse leur développement depuis près de dix ans, décrit la technique comme ‘la plus prometteuse’ . « Plutôt que d'injecter l'antigène d'un agent pathogène dans votre corps, vous lui donnez le code génétique nécessaire pour produire cet antigène lui-même. Lorsque les antigènes apparaissent à l'extérieur de vos cellules, votre système immunitaire les attaque et apprend à vaincre les futurs intrus au cours du processus. En gros, vous transformez votre corps en sa propre unité de fabrication de vaccins ».
Les vaccins à mARN sont développés par trois grandes entreprises pharmaceutiques : Pfizer, Moderna et CureVac, et leurs partenaires. L’un des vaccins en question aurait même une caractéristique ‘amplificatrice’. Kathrin Jansen, de chez Pfizer, explique ainsi que « lorsque vous injectez cet ARN à un être humain, il est absorbé par une cellule, et démarre sa propre usine. Il s'amplifie dans la cellule, une seule copie entre, et l'usine se met en marche et fabrique de plus en plus de copies". Que se passe-t-il si cela tourne mal et que ‘le processus s’auto-amplifie’ ? En insérant une portion de code génétique de coronavirus dans les cellules humaines, il se pourrait que cela modifie le génome de la personne vaccinée ou de sa descendance, favorisant l’apparition de maladies auto-immunes ou le développement de mutations. Personne n’est en mesure d’en prédire les conséquences.
Nanoparticules L'un des principaux défis techniques de ces nouveaux vaccins consiste à faire entrer la volumineuse "charge utile" d'ARN des vaccins dans les cellules en la gardant intacte – sans qu'elle ne se décompose avant d'arriver à destination. La solution choisie consiste à utiliser des "systèmes de transport" biotechnologiques à la mode, impliquant des nanoparticules lipidiques, les LNP, qui "encapsulent les constructions d'ARNm pour les protéger de la dégradation et favoriser l'absorption cellulaire" et auront un effet stimulant (= irritant) du système immunitaire. Ces nanoparticules seront également recouvertes d'un polymère synthétique, non dégradable et de plus en plus controversé, appelé polyéthylène glycol (PEG).
Or l’utilisation du polyéthylène glycol, que l’on pensait autrefois inerte et inoffensif, est de plus en plus critiquée. Les chercheurs estiment qu’il favorisait la croissance de tumeurs et les réactions immunitaires comme le choc anaphylactique et que certaines personnes pourraient avoir une hypersensibilité à ce produit. Dans un autre registre, mais tout aussi alarmant, l’introduction de nanoparticules dans les vaccins pose un risque considérable, en raison justement des réactions inflammatoires, autoimmunes ou oncogènes que la pénétration de matériel non-biologique peut provoquer dans la cellule. Les chercheurs Antonietta Gatti et Stefano Montanari l’ont démontré à de multiples reprises à la loupe de leur microscope électronique.
Exit éthique et bioéthiqueDébut juillet, le Parlement européen a adopté un texte sur les vaccins OGM contre le Covid-19 permettant aux producteurs de vaccins et de médicaments contenant des virus OGM de se passer d’étude environnementale et sanitaire en amont des essais cliniques chez les humains. L’eurodéputée Michèle Rivasi du mouvement écolo EELV a fait un communiqué de presse dans lequel elle déclare : « Les dérogations accordées sont contraires au principe de précaution. Je me suis opposée à ce texte car on enlève les garde-fous nécessaires à la protection de notre santé. Face à ces nouveaux vaccins, nous devons redoubler de vigilance. L’argument de la Commission européenne, à l’origine du texte voté aujourd’hui, disant qu’au vu de l’urgence Covid-19, il faut se passer d’études préalables sur la santé et l’environnement, n’est pas acceptable. De plus, ce texte est arrivé au Parlement européen sous forme d’une résolution d’urgence, sans débat ni audition en commission environnement, ni même de débat en plénière. L’urgence, c’est surtout de ne pas se tromper en autorisant des produits dont la sûreté n’est pas évaluée. Les vaccins OGM actuellement à l’étude utilisent Crispr-Cas9, une enzyme qui fonctionne comme des ciseaux génétiques. Ces nouveaux vaccins n’ont jamais été évalués de façon complète. C’est un incompréhensible cadeau fait à l’industrie pharmaceutique et un gros coup de canif porté à la directive européenne sur les OGM, protectrice de l’environnement et de la santé humaine. La directive sur les OGM est un rempart efficace qu’il faut absolument préserver. »
Vacciner durant une épidémie ?Vacciner lors d’une épidémie semble logique. En réalité, cela comporte souvent un risque spécifique de ‘facilitation de l’infection’ pouvant mener à une aggravation de la maladie, suivie d’un emballement du système immunitaire et conduire à une issue fatale. Ce phénomène peut être déclenché par la rencontre d’un virus vaccinal et d’un virus sauvage de la même famille ou même de deux virus proches. C’est une des raisons pour lesquelles l’on ne vaccine pas une personne lorsqu’elle est malade, ni celle qui a déjà développé un taux d’anticorps élevé en ayant ‘fait’ une maladie immunisante. On ne vaccine pas contre la rougeole ou les oreillons ceux qui les ont déjà attrapés. La catastrophe de l’introduction du Dengvaxia aux Philippines lors de l’épidémie de dengue n’en est pas le seul exemple. L’on connaît déjà le phénomène depuis les épidémies de variole, notamment par le médecin allemand Buchwald et certains pensent qu’il pourrait être à l’origine du taux de mortalité élevé lors de l’épidémie récente de rougeole aux îles Samoa, durant laquelle on a lancé une campagne de vaccination obligatoire en urgence.
Dans un récent exposé sur une télévision en ligne, la généticienne Alexandra Henrion-Claude6 a rappelé ce danger d’interférence virale en estimant qu’il était nécessaire d’avoir un débat sans plus attendre quant au fait d’administrer des vaccins dans un contexte épidémique, notamment de la grippe dont l’interaction avec le coronavirus pourrait doubler le risque d’infection pulmonaire. Bien que de nombreux facteurs soient en jeu, certaines données donnent à penser que d’intenses campagnes de vaccination contre la grippe et les pneumocoques ont joué un rôle dans la surmortalité observée dans le nord de l’Italie.
Il est probable que cela se passe aussi lorsque deux souches de coronavirus, vaccinale et sauvage, se rencontreront, peut-être même chez des porteurs asymptomatiques du virus. Quoi qu’il en soit, la scientifique de l’INSERM estime que développer un vaccin contre le coronavirus en urgence est tout simplement une aberration, car on est certain de ne pas en connaître les effets secondaires.